Conclusion d’Arielle HYVER,
La Bifurk a retrouvé une capacité à bouger en se réappropriant son histoire, en réapprenant l’écoute mutuelle pour en faire le bilan et clarifier ce qu’elle voulait en garder et changer.
En modifiant son cadre (nouveaux statuts précisant frontières, missions de base, instances de leadership, répartition des rôles) elle a pu attirer et accueillir des énergies nouvelles prêtes à s’investir.
Maintenant La Bifurk peut se permettre d’évoluer et de se développer.
Un premier travail a permis de transmettre l’histoire aux nouveaux participants, de clarifier avec eux les rôles et fonctionnements des différentes instances, en lien avec les salariés.
Ce travail sera à « entretenir » régulièrement, afin que les principes et règles adoptées soient réellement compris et respectés et qu’ils soient transmis à ceux qui viendront dans le cadre des renouvellements.
Aujourd’hui nous en sommes à clarifier les missions et les objectifs des postes salariés en lien avec l’engagement des bénévoles.
Ce travail sera à poursuivre, car il est essentiel pouravancer vers plus efficacité ou « d’économie d’énergie ».
Il est souhaitable qu’il puisse être accompagné par un spécialiste externe de la GPEC et/ou de l’organisation administrative, afin d’apporter objectivité et réalisme.
La Bifurk est vivante et attachante et j’espère entendre parler d’elle, encore de longues années.